L’AGASA et la SMAG ensemble pour le programme “Maman Gâto” sensibilisent les vendeuses de beignets-gâteaux d’Akanda, Libreville et Owendo sur les normes d’hygiène

Ce vendredi 27 Janvier 2023, une délégation composée des équipes de l’Agence Gabonaise de Sécurité Alimentaire ( AGASA) et la SMAG a sillonné les trois communes sœurs du Grand-Libreville, Akanda, Libreville et Owendo, dans le cadre du programme ” Maman Gâto” qui permet d’encadrer les vendeuses de beignets-gâteaux en alimentation de rue.

C’est la Directrice Générale de l’AGASA, Alia Maganga-Moussavou et les représentants du Directeur Général de la SMAG qui ont lancé ce programme qui permet d’encadrer les vendeuses de beignets-gâteaux sur les conditions hygiéniques de l’alimentation de rue. Chacune d’elle, a été sensibilisée sur les gestes responsables qui participent à améliorer le cadre de leur activité et l’hygiène sanitaire. Un programme qui cadre parfaitement avec les tâches régaliennes de l’AGASA, organe indiquée dans l’application des normes sanitaires en matière d’alimentation.

“Les “mamans gato” doivent Comprendre la nécessité de se conformer aux normes sanitaires en matière d’alimentation afin de garantir des produits de qualité aux consommateurs”, a notamment indiqué Alia Maganga-Moussavou, Directrice Générale de l’AGASA .

Notons que pour sa part, la SMAG entend accompagner des centaines de femmes vendeuses de beignets-gâteaux grâce à ce programme “Maman Gâto ” qui dote ces dernières de kits hygiéniques et un carnet de fidélité qui facilitera leur évaluation.

Selon Shella BIKET,
Directrice de l’Evaluation des Risques Sanitaires et Phytosanitaires de l’AGASA, ” Il s’agissait pour l’AGASA de procéder à une évaluation du respect des normes d’hygiène auprès des vendeuses de beignets-gâteaux. Cela fait déjà quelques années que l’AGASA a mis en place des stratégies qui vont dans ce sens. Il fallait donc ensemble, nous assurer que les commerçantes de beignets-gâteaux se sont appropriées définitivement les connaissances acquises lors de nos différentes sessions d’apprentissage “.

Yves Herty