Violence en milieu scolaire : l’honorable Simplice MOUANGO BOUNGUENDZA en appelle à la responsabilité parentale et de la cellule familiale
Face à l’urgente nécessité de lutter efficacement contre le phénomène galopant qu’est la violence en milieu scolaire, le Gouvernement et le législateur gabonais ont mis en place un certain nombre de mesures afin que les établissements scolaires de notre cher Pays continuent d’être comme le martel Son Excellence Monsieur Le Président de la République, Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba , LE TEMPLE DU SAVOIR dont ils incarnent, et le lieu par excellence d’enseignement et d’apprentissage.
Selon le code pénal gabonais, TITRE XVIII : De l’introduction d’armes dans un établissement scolaire.
🔖Art 439 : Quiconque, habilité ou autorisé à pénétrer dans un établissement scolaire, y pénètre ou s’y maintient en étant porteur d’une arme sans motif légitime, est puni de trois ans d’emprisonnement et de 10.000.000 FCFA d’amende au plus.
Les personnes coupables de l’infraction visée à l’alinéa ci-dessus encourent également les peines complémentaires suivantes :
- l’interdiction des droits civiques, civils et de famille ;
- une peine de travail d’intérêt général ;
- la confiscation d’une ou de plusieurs armes dont le condamné est propriétaire ou dont il a la libre disposition.
Le 03 février 2022, le législateur gabonais a adopté un projet de Loi criminalisant le harcèlement en milieu scolaire et familial ainsi que le cyber harcèlement.
À cela s’ajoutent les nombreuses campagnes de sensibilisations initiées au sein des établissements scolaires par le Gouvernement via les différents ministères, directement ou indirectement concernés par ce phénomène qui au-delà de toucher uniquement les élèves, a un impact négatif sur la jeunesse de notre pays et sur notre société. La responsabilité parentale, celle de la cellule familiale, est plus que jamais pointée du doigt. Nous devons chacun jouer sa partition pour ne pas laisser notre jeunesse sombrer dans ce cercle vicieux qu’est la violence.
𝐍𝐨𝐮𝐬 𝐝𝐞𝐯𝐨𝐧𝐬 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐪𝐮𝐞 𝐣𝐚𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐚𝐠𝐢𝐫, 𝐨𝐬𝐨𝐧𝐬 𝐞𝐧𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐨𝐬𝐬𝐢𝐛𝐥𝐞 !
Pris sur un mur